Economie et emploi

au coeur

du dynamisme communal !


Les communes ont perdu la compétence économique au profit des intercommunalités. Romans n’y fait pas exception. Mais entreprises et communes ont leur destin lié quant aux politiques de développement des territoires. Les premières pour disposer des infrastructures et des services nécessaires à l’exercice de leur activité. Les secondes pour percevoir des recettes fiscales afin de financer leurs missions de services public (éducation, sport, culture) et proposer un cadre de vie harmonieux à leurs citoyens par ailleurs salariés des entreprises locales.


L’emploi au cœur !


L’emploi, la formation et les salaires sont des données déterminantes du niveau et de la qualité de vie dans une commune. Ce sont des atouts essentiels du développement local. Ils concourent pour une part prépondérante à la capacité contributive des contribuables locaux donc à la structure des dépenses du budget communal. D’où l’enjeu pour une majorité municipale de se préoccuper de ces questions avec le souci d’une nouvelle relation aux entreprises sur fond de leur responsabilisation sociale et territoriale.


Des outils au service de l’emploi, de la formation, des financements et de l’environnement.


Il y a un besoin d’outils nouveaux de maîtrise du développement industriel local et au-delà de l’ensemble des entreprises. Voilà pourquoi nous proposons :


➢ Le tenue d’une conférence communale annuelle sur l’emploi, couplée à une conférence annuelle sur les services publics, réunissant les différents acteurs locaux pour établir ensemble une gestion prévisionnelle des emplois, les besoins en formation et les enjeux d’adaptation aux nouvelles technologies et productions.

➢ La création d'un Comité Économique Social et Environnemental Local (CESEL), avec des représentants des organisations syndicales, des organisations patronales, de personnes qualifiées, d’associations et d’élus locaux, afin d’élaborer des projets de développement locaux pour les proposer au Conseil Municipal. Il serait également un outil d’évaluation des actions engagées et une force d’intervention auprès des banques locales pour obtenir des prêts à taux abaissé, voire zéro selon l’efficacité sociale et environnementale des investissements financés.


La bataille pour le maintien du commerce de proximité :


➢ Nous refusons d’étendre les autorisations d’ouverture des grandes surfaces le Dimanche.

➢ Nous proposons de réserver une superficie dédiée à des locaux commerciaux au sein des constructions de nouveaux logements ou des réhabilitations afin de participer à redynamiser les quartiers et le centre-ville.

➢ Nous intègrerons des clauses favorisant les producteurs locaux et les entreprises locales dans les commandes et les marchés publics.

➢ Nous favorisons l’économie sociale et solidaire.

➢ Nous proposons de relancer les plans de rénovation et de maîtrise d'énergie créateurs d'emplois non délocalisables.


La bataille pour l’emploi :


➢ Nous soutenons l’insertion professionnelle, avec les missions locales notamment.

➢ Nous soutenons les salariés en lutte pour leurs droits et leurs emplois.

➢ Nous conditionnerons les aides économiques au respect de critères sociaux (création d’emplois locaux, formation, salaires) et environnementaux.

➢ Nous ouvrirons des espaces information-orientation-métiers dédiés à l’orientation professionnelle.

➢ Nous ferons évoluer l'offre hôtelière en lien avec l'attractivité touristique.

➢ Nous proposerons de positionner la Foire du Dauphiné sur l'Ouest romanais à proximité du futur 4ème pont qui sera mis en débat.

➢ Nous mettrons en place en ville une signalétique au sol pour inviter aux cheminements touristiques et culturels.

➢ Nous fédérerons notre musée de la Résistance avec des musées de même type.

Maîtrise de la fiscalité locale.